Structure

Code IRD 5R24800
Sigle MARBEC
Intitulé Biodiversité marine, exploitation et conservation
Directeur, directrice Accessible en mode connecté
Vague vague A
Identifiant National 201521641M
Site Web http://www.umr-marbec.fr/
Structure Mère DEPARTEMENT OCEANS
Département Secondaire
Délégation Régionale DELEGATION REGIONALE OCCITANIE
Filiation 01/01/2015 - Fusion d'unités ECOSYM
01/01/2015 - Fusion d'unités INTREPID
01/01/2015 - Création de l'unité (durée du mandat 5 ans)
01/01/2015 - Fusion d'unités EME
01/01/2021 - Renouvellement de l'unité (durée du mandat 5 ans)
L’Unité Mixte de Recherche (UMR) MARBEC, MARine Biodiversity, Exploitation and Conservation, a été créée le 1er janvier 2015. Ses autorités de tutelle sont l’IRD, l’Ifremer, l’Université de Montpellier et le CNRS. MARBEC est l’un des plus importants laboratoires travaillant sur la biodiversité marine et ses usages en France avec environ 300 agents, dont 90 chercheurs et enseignants-chercheurs. L’unité est implantée à Sète, Montpellier et Palavas-les-flots, ainsi que dans l’océan Indien, en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. Elle étudie la biodiversité marine des écosystèmes lagunaires, côtiers et hauturiers, principalement méditerranéens et tropicaux. Ses recherches portent sur différents niveaux d’intégration, des aspects moléculaires, individuels, populationnels et communautaires, aux usages de cette biodiversité par l’Homme.
Nom Officiel
Pourcentage effectif
Pays Type Tutelle Commentaire
Université de Montpellier
12.86 %
France PRINCIPALE Support
Institut de recherche pour le développement
33.76 %
France PRINCIPALE
Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer
11.9 %
France PRINCIPALE
Centre national de la recherche scientifique - France
9.65 %
France PRINCIPALE UMR9190
Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement
1.61 %
France SECONDAIRE
Implantation Principale UMR MARBEC
STATION IFREMER
AVENUE JEAN MONNET
CS 30171
34203 SETE CEDEX
France
Site(s) d'affectation(s) Pays
AUTORITE DE PECHE DES SEYCHELLES (SFA)-VICTORIA-SEYCHELLES (effectif IRD : 2) Seychelles
BRIN (BADAN RISET DAN INOVASI NATIONAL RESEARCH AND INNOVATION AGENCY) (effectif IRD : 1) Indonésie
CENTRE NATIONAL DES SCIENCES HALIEUTIQUES DE BOUSSOURA (CNSHB) (effectif IRD : 2) Guinée
CESSMA PARIS - UNIVERSITE DENIS DIDEROT PARIS 7 (effectif IRD : 1) France
CRO-ABIDJAN-COTE D'IVOIRE (effectif IRD : 1) Côte d'Ivoire
DEPARTMENT OF FORESTRY FISHERIES AND THE ENVIRONMENT DFFE (effectif IRD : 1) Afrique du Sud
INSTITUT HALIEUTIQUE ET DES SCIENCES MARINES (effectif IRD : 1) Madagascar
IRD - BRASILIA - BRESIL (effectif IRD : 1) Brésil
IRD-MONTPELLIER-FRANCE (effectif IRD : 1) France
STATION IFREMER - SETE - FRANCE (effectif IRD : 88) France
UFPE - DEPARTAMENTO DE OCEANOGRAFIA (effectif IRD : 2) Brésil
UNIVERSITE DE CAPE TOWN (UCT)-LE CAP- AFRIQUE DU SUD (effectif IRD : 1) Afrique du Sud
UNIVERSITE DE MONTPELLIER - FRANCE (effectif IRD : 18) France
UNIVERSITE MONTPELLIER II-MONTPELLIER-FRANCE (effectif IRD : 1) France
UNIVERSITE VERSAILLES SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES (effectif IRD : 1) France
Implantation(s) secondaire(s) Pays
STATION IFREMER DE PALAVAS
CHEMINE DE MAGUELONE
34250 PALAVAS-LES-FLOTS
UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER
PLACE EUGÈNE BATAILLON
BÂT. 24 - CC093
34095 MONTPELLIER

Equipes / Axes de recherche ou de projet

Équipes Responsable(s) Description
Ambition 5 : Promouvoir une pêche et une aquaculture marines durables X X L’augmentation continue de la demande en produits de la mer depuis 1950 a généré un essor prodigieux de la pêche mondiale, qui s’est concrétisé par une forte hausse des captures (passant de 20 MT à 90MT entre 1950 et 1995), mais aussi de l’effort de pêche. Depuis près de 30 ans, l’effort de pêche au niveau mondial continue d’augmenter, alors que les captures stagnent, générant de plus en plus de situations de surexploitation (malgré des améliorations dans certaines zones océaniques). Actuellement 33% des populations sont surexploitées, 60% pleinement exploitées et seulement 7% restent sous exploitées, ce qui offre peu de possibilités d'expansion des pêcheries. Les seules options pour répondre à la demande croissante en produits de la mer sont donc de reconstituer les stocks surexploités et de développer l’aquaculture, secteur qui est fortement soutenu par l’UE. L’enjeu pour ce secteur est de mettre en œuvre une filière qui intègre les perspectives écologiques, sociales, économiques et institutionnelles pour un usage durable des ressources naturelles. En d’autres termes, cela implique de réduire les rejets d’élevage, de développer de nouveaux procédés, comme les systèmes à recirculation nouvelle génération et les systèmes multitrophiques ainsi que d’améliorer l’adaptation et le bien-être des animaux à ces procédés. Pêche et aquaculture sont deux secteurs qui impactent fortement les écosystèmes marins et qui, pour être durables, doivent donc se développer dans le cadre d’une approche écosystémique de manière à assurer la sécurité alimentaire tout en préservant l’intégrité et la résilience des organismes et des écosystèmes qu’ils exploitent.
Ambition 3 : Evaluer les causes de la perte de la biodiversité marine X X La biodiversité marine (comme terrestre) décline à un rythme sans précédent à cause des activités humaines directes, comme la pêche, l’aménagement du littoral, les pollutions, et du changement climatique. Bon nombre d’espèces marines exploitées ont vu leur effectif fondre au cours des dernières décennies et certains groupes, comme les coraux, requins et mammifères marins, sont menacés d'extinction alors que d’autres, comme les tortues ou les oiseaux sont fortement affectés par la pollution plastique. Certains écosystèmes marins sont, dans leur ensemble, fortement impactés, notamment les écosystèmes côtiers qui sont aussi les plus productifs et diversifiés. Ainsi, l'étendue des herbiers marins a diminué de plus de 30%, la couverture de mangroves a diminué de 38%, alors que la couverture de coraux vivants sur les récifs a presque diminué de moitié. Si ce déclin de la biodiversité marine est maintenant bien documenté et fait l’objet d’un consensus dans la communauté scientifique, notre compréhension des impacts du changement global sur les espèces, communautés et écosystèmes marins est encore très incomplète et doit être améliorée pour pouvoir mieux préserver et maintenir la biodiversité marine et les services écosystémiques.
Ambition 1 : Dresser l'état des lieux de la biodiversité marine X X La pertinence des prises de décision politiques en faveur de la protection de la biodiversité dépend de notre capacité à mieux caractériser l’état et la dynamique de la biodiversité, ses facteurs déterminants, et être en mesure de modéliser et d’anticiper ses changements. La récente mise en œuvre de la plateforme science-politique internationale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) et la publication de son rapport soulignent l’importance que va revêtir cette tâche dans les années à venir. Contrairement aux habitats continentaux où des méthodes consensuelles d’analyse scientifique des patrons de biodiversité ont été mises au point depuis longtemps, ce travail ne fait que débuter pour la biodiversité marine, dont l'organisation est guidée ou contrainte par des facteurs différents (habitats plus vastes et moins physiquement fragmentés, variations de température plus tamponnées, diversification des espèces plus ancienne, etc.). La compréhension de ces patrons de biodiversité fait nécessairement appel à une complémentarité de disciplines (écologie, évolution, génétique, etc.) et d’observations à différentes échelles spatiales et temporelles, à différents niveaux d’organisation du vivant (du gène aux écosystèmes).
Ambition 2 : Comprendre et modéliser le fonctionnement et l'évolution des organismes et ecosytèmes marins X X Les pressions anthropiques et le changement climatique sont des forces évolutives dont les effets sur la biodiversité marine sont considérés comme majeurs. Pour cela il nous faut appréhender la relation génotype-phénotype-environnement ainsi que faire la part entre l’évolution naturelle des organismes et celle induite par le changement global. Par ailleurs, nos capacités à modéliser et prédire ces effets demandent une meilleure compréhension des facteurs biologiques qui définissent les limites de distribution d’une espèce, sa niche écologique fondamentale. Ces facteurs sont notamment à rechercher dans l’histoire démographique, la fitness et les capacités adaptatives des espèces au regard des conditions environnementales. La connaissance des interactions des organismes marins est indispensable pour expliquer la coexistence des espèces, leurs distributions, leurs productivités et leurs capacités de résistance et de résilience. Les processus écologiques impactent aussi la dynamique spatio-temporelle des populations et des communautés d’espèces. Ces forçages structurent les écosystèmes marins. La connectivité et les migrations font partie de cette dynamique. Il est donc nécessaire de faire converger des approches individuelles où les phénomènes comportementaux (y compris sociaux) président aux déplacements des individus et des approches populationnelles de grandes échelles où les déterminants physiques dominent. Cette ambition couvre de vastes champs disciplinaires, de la biologie moléculaire à l'écologie en passant par l’éthologie et la biologie du développement. L’intégration des résultats obtenus dans des études englobant l’ensemble de l’aire de répartition des espèces et les habitats successifs colonisés pendant leurs cycles de vie permettra de préciser les liens existants entre qualité et disponibilité des habitats marins, « patterns » de connectivité à l’échelle intraspécifique (intra- ou inter-populationnelle) et dynamique des populations.
Ambition 6 : Développer un océan numérique pour protéger la biodiversité marine X X Les enjeux d’usages (pêche, aquaculture) et de conservation de la biodiversité marine, dans le cadre du changement global, font face à des défis technologiques et des verrous de connaissance qu’il faut relever. Dans le milieu marin, l’observation in situ a toujours été un défi majeur, car l’eau de mer, contrairement à l’air, laisse peu ou pas passer les ondes électromagnétiques. De ce fait, l’observation marine a toujours été très contrainte et limitée, mais les développements de nouveaux capteurs, de stations d’écoute et de robots ouvrent de nouveaux horizons et permettent de suivre les animaux marins et d’étudier leurs déplacements individuels et/ou collectifs. Des innovations technologiques supplémentaires sont encore nécessaires pour comprendre les processus physiologiques et éthologiques sous-jacents et par là même les réponses des organismes à leur environnement. De même, des observatoires doivent être maintenus pour pouvoir qualifier les évolutions des populations et des communautés marines. A côté du défi « Observation », la compréhension de l’évolution des écosystèmes marins passe aussi par la bancarisation, le traitement et la modélisation d’une masse considérable de données in situ et issues de modèles. Pour comprendre de manière intégrée les effets des activités humaines sur les organismes, le fonctionnement et la structure des écosystèmes marins, des modèles complexes, dit End-to-End (multi- compartiments, multi-échelles et multi-usages), ont été développés et doivent maintenant être parachevés afin de pouvoir être utilisés comme outils de gestion (que ce soit dans un cadre d’estimation de quantités d’intérêt ou de production de scenarii). Pour ce faire, il faudra formaliser, de manière théorique, mécanistique ou statistique, les nouvelles connaissances, puis confronter ces conceptualisations aux données tout en intégrant de nouvelles approches informatiques, notamment celles du big data et de l’intelligence artificielle.
Ambition 4 : Proposer des outils de conservation de la biodiversité marine et anticiper les risques émergents X X Avec les progrès techniques, le développement des échanges et les avancées de la connaissance, chaque époque a été marquée par l’émergence de dangers nouveaux et donc de risques nouveaux. Aujourd’hui, beaucoup de phénomènes, très hétérogènes (plastiques, antibiobiotiques, perturbateurs endocriniens, etc.), peuvent entrer dans la catégorisation des risques émergents pour les socio-écosystèmes marins. Bien qu’encore mal caractérisés, la présence et les effets de ces nouveaux contaminants entraînent une modification de l’environnement, imposant des adaptations et évolutions pour les espèces marines avec des conséquences locales négatives de plus en plus récurrentes et perceptibles, tant pour la biodiversité que pour les populations humaines (diminution de l’abondance ou de la qualité des ressources, risques sanitaires, dégradation de l’habitat, etc.). Face aux risques émergents, l’enjeu scientifique se situe tout d’abord dans la qualification du risque pour aboutir à la mise en place de moyens de prévention et d’outils de gestion adaptés. Plus globalement, la lutte contre les conséquences directes des activités humaines et le changement climatique va de plus en plus imposer de nouvelles approches, basées sur la prévention de leurs conséquences dommageables (développement d’outils de conservation des différentes composantes de la biodiversité marine) et la résilience aux aléas naturels et technologiques associés (développement d’outils de restauration des habitats marins). Mettre en œuvre des mesures de protection, de valorisation, de compensation des dommages causés aux habitats et espèces marines, y compris les Nature Based Solutions, afin de protéger la biodiversité marine et maintenir ses capacités d’évolution, constitue donc un défi scientifique d’ampleur pour les années futures.
AMBITIONS (mono-équipe rattachées comité Directoire) X

Equipes d’appui à la recherche

Équipes Responsable(s) Description
DIRECTOIRE X X X X L'équipe de Direction est composée du Directeur de l'Unité MARBEC ( U248 IRD - UMR9190 CNRS - U214 Université Montpellier) Mr Laurent DAGORN (IRD) et de 3 Directeur (rice)-Adjoint (e) qui forment ainsi le comité directoire .
ADMINISTRATION D'APPUI À LA RECHERCHE X X X Une CO-ADMINISTRATION (2) rattachée au comité directoire anime le BAR (Bureau d'Appui à la Recherche)
OBSERVATOIRES X X 31 Observatoires
DISPOSITIFS
DAL X X Dispositif d'Analyses en Laboratoire (DAL) : DAL, Dispositif d’Analyses en Laboratoire regroupe l’ensemble des compétences techniques, des équipements et des espaces de l’UMR nécessaires à l’observation, la mesure et l’expérimentation en Laboratoire. Le DAL est réparti sur les sites MARBEC de Montpellier (Université de Montpellier – Triolet) et Sète (Station Ifremer). Il rassemble les moyens techniques permettant de réaliser en laboratoire des analyses dans des domaines scientifiques particuliers (cf. organigramme). Il est composé de 8 plateaux techniques, 1 plateforme labellisée et 1 service commun : 8 plateaux techniques (Analyses protéiques, Biologie moléculaire, Chimie-Biochimie, Cultures, Cytométrie, Histologie, Microscopie, et Sclérochronologie-Biométrie) La plateforme Microbex est une plateforme labellisée du Labex CeMeb, elle rassemble 3 plateaux techniques de Cytométrie, de Microscopie et de Culture. Les conditions d’utilisations sont définies dans la charte d’utilisation des plateformes du Labex. Le service commun Stérilisation et Production d’eau indispensable pour le bon fonctionnement des plateaux techniques. Tout personnel souhaitant mettre en place un projet nécessitant des expérimentations en laboratoire peut contacter une des représentantes du DAL, ou le référent du plateau technique concerné, afin de valider la mise en place des moyens spécifiques, et accompagner la mise en œuvre des expérimentations.
DEN X X Dispositif d’Écologie Numérique (DEN) :Depuis plusieurs années, nous assistons à l’explosion quantitative des données numériques. Elles proviennent aussi bien de récoltes lors de manipulations in situ que de résultats générés en sortie de modèles. La manipulation de ces données nécessite des besoins et compétences dans la mise en forme, le traitement, l’analyse, le stockage et la valorisation de ces données. Les principaux objectifs du Dispositif d’Ecologie Numérique (DEN) sont la mise en place, la coordination et la mutualisation des moyens techniques ainsi que l’échange de méthodologies et de nouvelles approches en support aux aspects numériques des travaux de recherche scientifique. Ces tâches seront principalement réalisées au travers de groupes de travail, ateliers et séminaires.
DEX X X Dispositif Expérimental (DEX) : L’expérimentation animale sur espèces aquatiques peut être réalisée dans deux infrastructures : la Plateforme expérimentale Ifremer, localisée à Palavas et le plateau technique EXAAQT (EXpérimentation Animale AQuaTique), localisé sur le campus Triolet à Montpellier.
DOS X X Dispostif d'Observations in Situ (DOS) : Le dispositif d’observation in situ a pour objectif de regrouper les différentes capacités et moyens de l’UMR à explorer et mesurer le milieu marin. Il est composé de trois structures : une 'plateforme Biologging', un 'plateau Instruments océanographiques d’observation et de prélèvement' et un 'réseau Plongée scientifique'. Les différents acteurs de ces structures sont les représentants du dispositif (2 personnes), les référents (2 à 4 personnes) et les membres du comité de pilotage de chaque structure (15 à 30 personnes). Aux différents niveaux opérationnels (DOS, Structures et Comités), les acteurs auront des fonctions : d’organisation à savoir : la planification, l’animation (formation) et la mise en valeur des actions menées, un rôle d’expertise, de veille, de conseil et d’évaluation des besoins de financement, de gestion du matériel à savoir : l’inventaire, le stockage, la planification et la maintenance du matériel et les modalités de leur utilisation.
Dispositif Acronyme Intitulé Région Création Fin de soutien IRD
IRN South AfriMAQUA Research Network for Sustainable Marine Aquaculture in Africa Afrique de l'Est, Afrique australe et Océan Indien, Afrique de l'Ouest et Centrale 2024 2028
JEAI IGUELA "Fonctionnement écohydrologique de la lagune côtière Iguela : un écosystème pristine et vulnérable" Afrique de l'Ouest et Centrale 2021 2024
LMI LIMAQUA African Interdisciplinary Laboratory in Sustainable, nutrition-sensitive Marine AQUAquaculture Afrique de l'Est, Afrique australe et Océan Indien 2022 2026
IRN South LiStat Statistics for life sciences & ecology Afrique de l'Ouest et Centrale, Moyen-Orient et Afrique du Nord, Amérique Latine et Caraïbes 2024 2028
LMI MIKAROKA Observatoire de la biodiversité marine et côtière et de ses usages à Madagascar Afrique de l'Est, Afrique australe et Océan Indien 2020 2024
JEAI PADI Plastiques d’Abidjan : Devenirs et Impacts Afrique de l'Ouest et Centrale 2022 2025
IRN South PASSPORT-2C Protocols Adapted to the South for Studying the Plastic Origins and River Transfers (from the Cities to the Coast) Afrique de l'Ouest et Centrale, Afrique de l'Est, Afrique australe et Océan Indien, Asie 2022 2026
LMI SELAMAT Sentinel Laboratory of the indonesian Marine biodiversiTy Asie 2021 2025
LMI TAPIOCA Tropical Atlantic Interdisciplinary laboratory on physical, biogeochemical, ecological and human dynamics Amérique Latine et Caraïbes 2018 2027
IRN South WACA-VAR West African Coastal Areas- mapping Vulnerability, Adaptability and Resilience in a changing climate Afrique de l'Ouest et Centrale 2023 2027
IRN South WAMBA-net West African Marine Fish DNA Barcoding Network Afrique de l'Ouest et Centrale 2021 2025